Slamà

Un mot ancien pour un présent à réinventer.
Un présent vivant pour un futur qui se choisit.

La paix ne tombera pas du ciel, elle viendra de nous. Slamà n’est pas une utopie. C’est une mémoire vivante. Une graine qui pousse entre les ruines et les rêves.

closeup photo of torn papers
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La mission

Semer. Montrer. Questionner. Créer des images et des messages qui dérangent doucement, qui touchent, qui réveillent. Et par là, faire naître des gestes, des conversations, des consciences. Pas pour sauver le monde. Mais pour ne pas rester complices. Parce qu’entre l’impuissance et l’indifférence, il y a le choix d’agir — même à notre échelle.

La vision

Hier, nous avons appris. Aujourd’hui, nous voyons. Demain dépend de ce que nous osons faire maintenant. SLAMÀ rêve d’un monde où l’art devient acte, où la paix devient une culture, pas une parenthèse. Une paix exigeante, radicale, créative — pas passive.

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L'idée de départ qui ne demande qu'à faire son chemin ...

SLAMA naît d’un mot oublié, d’un souffle ancien que les conflits ont étouffé. Nous le faisons résonner à nouveau — dans les images, les mots, les objets, les silences. SLAMA n’est pas un slogan. C’est une invitation : à sentir, à penser, à s’éveiller, à agir. À faire de la paix un engagement vivant, pas une pause entre deux drames.

Combien encore ?
Combien de guerres faudra-t-il pour qu’on ouvre les yeux ?
Combien de dommages collatéraux ?
Combien d’enfants condamnés sans avoir vécu ?
Combien de mères, de pères, de frères, de sœurs, arrachés à leur quotidien ?

La paix ne devrait pas être un luxe,
ni une parenthèse entre deux violences.
Elle ne devrait pas être négociée à coups d’intérêts.
La paix, c’est un droit. Universel. Inaliénable.
Un devoir collectif, pas une utopie individuelle.

On ne peut pas continuer à détourner les yeux.
Parce que ne rien faire, c’est participer.
Parce que savoir, c’est être responsable.

SLAMA, c’est ce rappel.
Ce murmure qui dit :
la paix n’est pas une option.
C’est une exigence.
Pour nous. Pour les autres. Pour ceux qui viendront après.